Inde assouplit les règles d'investissement étranger dans la nouvelle poussée de réforme
Un groupe de ministres indiens mardi soir effacé plans de retirer le bouchon de l'investissement étranger dans les télécommunications et assouplir les règles de propriété à l'étranger dans une foule de secteurs dans une nouvelle poussée des réformes économiques.
Les mouvements visent courtiser les investisseurs et coup de départ l'économie en difficulté avant que le gouvernement Congrès scandale contaminé face à des électeurs pour les élections générales prévues en mai 2014.
"Nous nous attendons à davantage d'investissements directs étrangers de circuler avec ces décisions», le ministre du Commerce Anand Sharma a dit une conférence de nouvelles du soir.
Le gouvernement cherche à rétablir la confiance dans l'économie qui a progressé à son rythme le plus lent en une décennie à cinq pour cent et d'augmenter la roupie en difficulté qui a frappé un chapelet de dépressions vie au cours des dernières semaines.
Parmi les mesures, les ministres lors d'une réunion présidée par le Premier ministre Manmohan Singh Congrès a approuvé le relèvement du plafond des investissements étrangers directs (IED) dans les télécommunications à 100 pour cent de 74 pour cent.
Ils ont également décidé de supprimer la nécessité de l'approbation du gouvernement pour certains niveaux d'investissements étrangers dans la distribution monomarque et le raffinage du pétrole.
Dans l'assurance, il a approuvé relever le plafond IDE de 26 pour cent à 49 pour cent.
Mais dans le domaine controversé de la Défense, le bouchon IDE restera à 26 pour cent des propositions au-delà de celle examinée au cas par cas.
Les décisions des ministres auront toujours besoin de l'approbation de l'ensemble du Cabinet - susceptible de venir à une réunion la semaine prochaine - et le passage de la randonnée le bouchon d'assurance exige un contrôle parlementaire, Sharma dit.
L'annonce est venue après ministre des finances P. Chidambaram a visité les Etats-Unis pour la deuxième fois en trois mois la semaine dernière pour rassurer les entreprises étrangères que l'Inde reste un endroit accueillant pour investir.
"Nous nous félicitons de la décision et il indique que des réformes sont en cours", a déclaré la Fédération des Chambres de Commerce et d'Industrie président Naina Lal Kidwai.
IDE en Inde - considéré comme essentiel pour améliorer ses infrastructures en mauvais état et stimuler la fabrication d'employer sa population jeune en plein essor a chuté à 22,4 milliards de dollars l'an dernier, passant de 36,5 l'année précédente, les chiffres officiels montrent.
Soulignant le malheur des investisseurs étrangers avec l'Inde, de Corée du Sud géant de l'acier Posco abandonné un accord de 5,3 milliards de dollars pour construire une usine d'acier dans l'Etat méridional du Karnataka dues à des retards d'acquisition et de l'opposition locale.
Les économistes affirment que l'Inde a besoin d'investissements étrangers pour stimuler la croissance et aussi de fermer son déficit du compte courant de large - la plus large mesure du commerce international - qui a alarmé les agences de notation de crédit mondiaux.
Pour améliorer l'attractivité de l'investissement de l'Inde, les économistes disent que le gouvernement doit réduire les lourdes formalités administratives du pays, accélérer l'approbation des projets lents et réduire la corruption généralisée.
Le gouvernement a été poursuivi par une série de scandales de greffons pendant son second mandat, qui a déraillé plusieurs de ses efforts pour faire passer des réformes pro-marché promis.
L'année dernière, le gouvernement a ouvert le supermarché, l'aviation civile et secteurs de la radiodiffusion à l'investissement étranger plus large dans un élan de réformes après avoir été accusé de paralysie politique.
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